Ning Hospital.
Les kystes laryng sont rares; mais peuvent entra er
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Les kystes laryng sont rares; mais peuvent entra er une obstruction s e des voies a iennes sup ieures, voire le d . Arens et al. Ont classles kystes laryng selon leur localisation: les cordes vocales (58,2 ), repli ventriculaire (18,3 ), la vall ule (ten,5 ), l’ iglotte (10,1 ) et le repli ary iglottique (2,two). Ils ont distingule kyste laryngcong ital, r entionnel et inclusion [1]. Les signes cliniques typiques sont repr ent par le stridor, la dysphagie et la d resse respiratoire des degr variables. Leur traitement est chirurgical, excision compl e ou marsupialisation. Les auteurs pr entent un cas d’obstruction aigudes voies a iennes sup ieures au moment de la tentative d’une intubation endotrach le difficile pr isible en rapport avec un volumineux kyste du larynx.une apn r istante aux essais d’extraction par les efforts r d’expulsion du kyste par la patiente et l’utilisation de pince de Magill. En suspendant la patiente par le laryngoscope (Macintosh), l’ouverture exp itive du kyste et l’aspiration de son contenu liquide a permis son affaissement. La voie a ienne a finalement lib et l’intubation ait alors possible en faisant passer une sonde d’intubation endotrach le arm ballonnet de 6 mm de diam re. La SpO2 a remont100 . L’excision du tissu r iduel du kyste partir de sa base d’implantation a r lis sous laryngoscopie directe en suspension par des micro ciseaux laryng . L’am ioration clinique a rapide avec disparition des sympt es d rits pr emment en post- op atoire imm iat. La patiente a mise sous antibioprophylaxie, cortico e et antalgique. L’examen histopathologique a confirmla pr ence d’un kyste r entionnel, sans signes de malignitPatient et observationUne jeune fille de 22 ans, coop ante, a admise dans notre service pour cure chirurgicale d’un kyste laryngobstructif. Son histoire clinique a marqu par la survenue d’une sensation de corps ranger dans la gorge avec une dysphagie mod , une dyspn et des isodes d’apn KDM1/LSD1 web obstructive au moment de l’inspiration et le d ubitus dorsal. La position assise ou debout, le d ubitus ventral faisaient dispara re la dyspn et l’apn . La fibroscopie pharyngo-laryng en position assise a mis en idence la pr ence d’une volumineuse formation arrondie r uisant massivement la lumi e pharyngo-laryng entravant la visibilitde la glotte. Sa surface est r uli e et lisse; tandis que sa consistance est molle l’attouchement par le bout du fibroscope. La TDM cervicale (Figure 1, Figure 2) a objectivune masse de HSP40 Gene ID nature kystique, ergeant du bord lat al de l’ iglotte et du repli ary- iglotique gauches, mesurant environ three cm de grand diam re. L’examen vis pranesth ique a montrune bonne ouverture buccale avec un Mallanpati classe 1. S’agissant d’une intubation difficile pr isible, nous avons d idde r liser une intubation endotrach le de la patiente au fibroscope souple au moment de la ventilation spontan . La patiente inform des tenants et des aboutissants de cette strategy, notamment d’une entuelle trach tomie exp itive, a donnson consentement lair Une pr ication a prescrite base d’Hydroxyzine la veille de la proc ure et le matin au r eil. A son arriv la salle d’op ation, un monitorage non invasif a mis en spot et la position ad uate pour une intubation eill au fibroscope a adopt . Nous avons fait pencher en avant et gauche la t e de la patiente pour optimiser l’exposition endolaryng et ne pas aggraver le stridor. L’anesth ie des cavit nasales a assur par l’appl.